il en n'a tu ici..

Si oui


Il a tu beaucoup d'emploi dans ce domaine
Comment ce déroule vous journée ect



Je pense m'en aller dans ce domaine l'an prochain.


Merci de me repondre.

Juste comme cela, as-tu vérifier si le cours de technicien en aménagement cynégétique et halieutique pouvait t'intéresser? Il se donne au cégep de Baie-Comeau.

Pas de problèmes pour l'emploi.

Il y a une pénurie importante de technicien forestier car ils n'en sort pratiquement plus des CEGEP.

L'industrie est sortie de la crise.


Si tu aimes ce métier vas y fort.

Cependant si tu veux devenir riche cherche autre chose !

C'est un métier bien payer mais pas à l'extrème.


Genre 45-55 000 $ si tu as beaucoup d'expériences et au top des échellons.

Pour débuter attends toi à faire du chômage à chaque année pour quelques saisons et à gagner dans les 30-35 000 $.



Eric Bourque
Technicien forestier, photo-interprète.

Va voir tes messages. J'ai détaillé pas mal de choses pour t'aider. One Shot kill donne aussi de bonnes infos.

Il y a d'autres tech.fo aussi sur le forum.

Pour en savoir plus sur le domaine et l'aménagement des forêts publiques:

Documentaire récent (6min)

http://www.youtube.com/watch?v=9PBByK0f ... e=youtu.be

Pour en savoir plus sur les métiers de la forêt
http://www.csmoaf.com/index.php?section=metiers

Entrevue avec un technicien
http://affaires.lapresse.ca/cv/forester ... estier.php

Comparaison avant-après l’Erreur boréale (7min)
http://vimeo.com/20563140

Ça fait 5ans que je ne suis plus dans ce domaine et je n'y ai pas travaillé longtemps. J'ai fait mon DEC au CEGEP de Chicoutimi de 2002 à 2005. C'est une DEC travail/études donc l'été se sont des stages payés!

J'ai fait de l'inventaire après coupe. Soit du 0ans-4ans-10ans. J'ai bien aimé faire de l'inventaire parce que tu est souvent seul, travail à ton rythme, voit de beau paysage. J'ai aussi été contremaître de plantation. Beaucoup de planification, contabilisation. J'ai adoré.

Moi personnellement, c'est le fait de faire du chômage et de partir toute la semaine qui fait que je n'ai pas poursuivi dans se domaine. De plus, je n'étais pas pour une grosse grosse compagnie. Donc, mon salaire n'était pas très élevé.

Le DEC en technologies forestières est plus qu'en baisse. En 2005 on était 18 finissants. J'ai revu quelques professeurs après mon cours et 2ans après nous je crois qu'ils étaient 3-4 finissants. Donc je pense bien qu'il va y avoir une pénurie de main d'oeuvre un moment donné!!

Merci pour toute vos réponse...

je veux faire un métier et etre dans le bois....et le programme a baie-comeau ces tu pareil que a rimouski ste foy...

Les programmes sont basé sur le même moule et tous voient à peut près les mêmes compétences mais elles ne sont pas traitées de la même manière et dans la même profondeur. Les programmes d'un Cégep à l'autre ont donc une teinte selon leur situation géographique. Par exemple, Baie-Comeau sera plus axé vers la grosse forêt résineuse commerciale du nord du fleuve par la force des choses. Ils ne peuvent pas trop traiter dans la pratique de la sylviculture de la forêt feuillue mais ils sont bien positionnés pour la grande for. rés. Ste-Foy et Rimouski sont à la jonction des trois types de forêts (feuillue, mélangée et résineuse) offrant la possibilité de voir en pratique tout l'éventail des travaux possibles par la foresterie. Reste que les bases théoriques de chacun des types de traitements ne sont pas très complexes.

Au BSL, la forêt publique et privé compte pour 50% chacune des tenures ce qui fait que les deux volets de la foresterie sont vues en détails. Comme l'aménagement de la forêt privée est ici très implantée dans les moeurs des résidants, le programme est teinté aussi par la petite propriété et par une culture forestière très forte dûe à la grande valeur qu'associent les gens du coin à leur forêt.

À Rimouski, une journée par semaine est dédiée aux laboratoire en forêt. Donc, la pratique occupe une grande place. La forêt d'enseignement est à 15min du cégep ce qui fait qu'on ne perd pas de temps à mettre les pieds dans le bois. Au besoin, les étudiants sont amenés sur la grande forêt publique et sur -des terres privées du coin.

La qualité de vie à Rimouski est incroyable avec tous les services et les activités possibles tout en étant dans une petite ville.

Donc, les programmes sont sur le même moule mais ont leurs particularités. Chacun peut préparer un technicien à travailler partout au Québec .. et au NB. Le choix d'un Cégep est plus une question personnelle rendue là (proximité, intérêts).

C'est quoi tu veux faire au juste?de l'inventaire ?grappe!!prisme ??martelage,pour faire ça ,il faut des attestation mscr qui n'est vraiment pas facile a avoir!!du bureau l'hiver (photo)que moi j'ai détester !!du vrai terrain!!!?il faut vraiment aimer ça!!faire du camp forestier!du motel!cependant,comme les autres mentionnent,c'est pas la job la plus payante!!moi j'ai vraiment aimer ça!!je suis dans la construction depuis deux ans maintenant!!carlos

Je sais pas pentoute je vx juste avoir un travail en foret pas etre toujours prit dans un bureaux comme a l'école

Salut Carlos. L'attestation MSCR est actuellement demandée pour faire du martelage en forêt publique principalement. Pas encore réellement appliquée en forêt privée ou du moins large tolérance à ce niveau.. entre vous et moi. Pour le reste, les divers inventaires, pas besoin de l'attestation.

Et la carte MSCR (demandée au Qc seulement), c'est loin d'être impossible à passer. Ils y ont été fort au-début en terme d'exigences mais là ça semble vouloir rentrer dans l'ordre car ils se sont rendus compte qu'il faut que ça reste applicable par du monde, pas seulement par des gens qui ont passé leur vie en recherche en pathologie forestière... Les écoles de foresterie se sont également adapté ce qui fait qu'aujourd'hui c'est pas mal moins ésotérique que ça en avait l'air au départ. Les codes font peur au début (c'est le bout le plus difficile certes) mais quand on comprend la mécanique de la méthode, la physiologie de l'arbre et la pathologie, le reste est de la simple logique. Je suis justement sur un projet de développement de matériel éducatif sur le MSCR et c'est vraiment intéressant lorsqu'on prend la peine d'éplucher le sujet ou lorsqu'on baigne dedans. Ça aide aussi beaucoup pour la prise de décision forestière. Est-ce que c'est essentiel d'appliquer à la lettre la méthode partout? On en discutera probablement encore longtemps mais ça a du bon et la ligne finale reste à tracer.

La question n'est pas vraiment de savoir ce que Dan veut utiliser comme méthode d'inventaire car il risque de toutes les utiliser un jour ou l'autre (et il ne les connais pas encore) mais plutôt quel type de travail (compagnie forestière, entreprise d'aménagement, forêt privée, gouvernement) et dans quelles conditions (dehors uniquement, mix dehors-bureau, éventuellement juste bureau, aspiration à un poste de direction ?? saisonnier ou à l'année absolument, ouvert ou non aux séjours prolongés à l'extérieur en camp forestier ou aux déplacements temporaires ou bien être chez soi à tous les soir?, etc. Il y a plusieurs types de carrières qu'on peut faire en foresterie. Bien entendu, un technicien forestier n'est pas millionnaire mais il gagne bien sa vie, un salaire décent dans la moyenne. Si la richesse, celle en multiple $$$, est recherchée, il faudrait songer à un métier comme médecin, avocat, comptable et encore. Cet argent-là a aussi un prix!!! Payable en nombreuses heures/sem qui risquent d'affecter d'autres côtés de notre vie. C'est un choix.

Personnellement, comme ing.f., je pourrais gagner pas mal plus en cherchant à monter les échelons hiérarchiques au gouvernement ou dans une compagnie. Je gagne bien ma vie et ça me suffit car mon temps libre et ma santé mentale sont trop précieux pour justifier un gros salaire qui ne me donne pas le temps ni le fun d'en profiter.. un gros salaire qui m'apporterait un tas de problèmes à gérer au travail et du trouble dans ma vie personnelle car pas assez disponible pour mes proches.. non merci!... C'est le choix personnel que chacun doit faire.

Anyway, les données d'emploi sont là, j'ai suggéré à Dan en MP quelques personnes à qui parler et il pourra choisir ce qu'il veut faire. De plus, s'il veut demeurer près de son patelin, il peut voir les employeurs potentiels dans son secteur et ainsi mieux évaluer les possibilités.

Bien entendu, je prêche pour ma paroisse car je trouve que c'est un des plus beaux métier par rapport à la possibilité de passer beaucoup de temps dehors et de pouvoir faire une différence dans l'aménagement de la forêt (surtout en forêt privée). La connaissance approfondie de l'environnement forestier qu'on développe au fil du temps est aussi très valorisante. Reste que comme dans tous les métiers, il y a des points négatifs, comme le côté répétitif des inventaires qui peut devenir lassant pour certains alors que d'autres aiment cela parce qu'ils n'ont pas à se casser la tête.

Le salaire me derange vraiment pas je veux juste faire un métier que jvais aimé.

Pour la certification MSCR une petite anecdote à ce sujet.

J'ai été suivre la formation pour mon ancien employeur à Duschenay.

En fait je ne suis pas marteleur du tout mais mon employeur voulait que je connaisse un peu ça pour voir si nos entrepreneurs essayaient de nous en passer des petites vites lors des travaux.

J'étais donc pour aller vérifier des contrats avec un pro du martelage à l'occasion.

Je m'installe donc dans le cours à Duschenay qui dure une semaine.

Le prof arrêtait pas de dire que pour avoir sa carte c'était dur sans bon sang (ce que Macpes explique) et que ça prenanait quasiment un génie pour avoir sa carte.

De mon côté la carte n'était pas importante vu que c'était plus pour une formation générale que j'allais là.

Après deux jours je me décide à me demander au prof:


Coudonc tu l'as tu réussis l'examen et tu l'as tu ta carte ?


Ben bâtard ! tout penaud il a du m'avouer qu'il avait poché l'examen !


C'est le gars qui donnait le cours et y avait même pas été capable de réussir l'examen !


On n'a plus les formateurs qu'on avait !



One Shot Kill.

J'ai fais mon cours à mont-laurier,en 2000 je sais pu!!dans ce temps ils nous écœureraient pour la carte de mesureur mrnf!!moi je détestais ca,surtout être dans une cours a bois!!en forêt c'est un peu mieux!!jais eu cette carte!!moi ce que j'aimais le plus c'était marteler!!en 2003-2004 je martelais 3,4 hectares /jours!!jai passer ma carte en 2008,j'étais chargé de problème et pour les soumissions sa prenait un gars avec une carte!!!sibole sa ma pris 2 fois pour passer cette foutu carte!! Martelé 1 hectare en 3 hrs et un examen écris !!!la plupart des job c'est de interprétation,faire de l'inventaire,de la dif ou d'la permanente!!faire de l'hélicoptère deux semaines de temps!!en Gaspésie dans une 3,57 m compter 146 gaules de sapins a quatre patte!! un assistant que j'avais a endurer ça 1 sem!!il se demendait ce qui faisait là!! j'en ai fait pas mal!!!des virés salés des chics chocs dans pente c-d épidémie ,chablis !!a classé du cèdre pis en route voir les empilement de cèdre laisser la !!essayer de trouver le cœur d'un cèdre lol de 60 cm dhp tout croche!! mais maudit que c'était le fun!!!faut vraiment aimer ça !!mais dans les érablières de l'Outaouais (forêt de l'aigle c'était vraiment bien je passerais le reste de ma vie a faire ça dans ce genre de forêt !!!

One shot kill: Elle est bonne celle-là! Mais ça ne me surprend pas.

C'est un peu ce que j'expliquais quand je disais que le réalisme commence à revenir... ils visaient beaucoup trop haut avec cet examen (et un coup la carte obtenue, ils demandaient aussi un trop grand nombre d'heures de pratique annuellement pour conserver sa carte.. ce que très peu de monde réussissait à faire en raison de la multiplicité des tâches de tech.). C'est encore difficile maintenant mais un peu mieux.

Concernant les formateurs, il n'y a aucune obligation à détenir la carte MSCR pour donner la formation. Il s'agit d'avoir suivi la formation de formateur.

Après son cours, l'étudiant doit pratiquer dans les martelodrome d'exercice et/ou comme apprenti avant de passer l'examen.

Le fait est que pour un professeur, faire le nombre d'heure de pratique nécessaire pour conserver la carte est tout simplement irréaliste car ce n'est pas son travail de marteler. Par contre, on lui exige de donner le cours régulièrement pour conserver son droit d'enseigner la méthode.

Comme mentionné, les fondements ne sont pas sorcier.. c'est l'assimilation des codes qui l'est (plusieurs dizaines de codes!!!)... Voir le Phellinus tremulae sans pouvoir dire que c'est un SP18X ne porte pas à conséquence si on sais reconnaître le champignon...et ce qu'il cause et entraîne au niveau opérationnel. Donc, on peut assez facilement juger un défaut (mettre le doigt sur le bobo) et sa dangerosité pour un travailleur sans connaître le code exact à lui donner... et de même, il n'est pas très difficile d'attribuer la bonne cote de vulnérabilité ou de récolte (M : mortalité - S : Survie - C : Conserver - R: Réserve) qui veut que les code M et S soient ceux à récolter en priorité. Lors de l'examen ou lors de travaux de martelage, il n'y a pas de conséquence opérationnelle à déduire que la blessure sur l'arbre est un DB07A (blessure mécanique ancienne sur un ERR avec carie) qui lui attribue la cote M alors qu'on aurait du voir le petit champignon à la base du défaut qui codait alors SP14A (Oxyporus populinus) mais qui donne toujours la même cote M...

Bon, ça amène une méthode systématique d,évaluation des défauts (ce qui est bien) mais a apporté une complexité dont l'ampleur n'était peut-être pas nécessaire. Et de mettre ça dans les main du Bureau des normes du Québec n'était peut-être pas l'idée du siècle car ils sont passés maître dans l'art de mettre des enfarges (mon opinion ).