registre ou tout bidulle que les admin.pubiques désirent mettre en place, il faudrait se poser la question si c'est utile ou pas!!!
tellement simple comme question...comme toute entreprise privée doit se poser...
et c'est pas p.c.q. c'est le gouver-moma qu'on devrait accepter n'importe quoi
et NON, l'$ ne pousse pas dans les arbres
et non, pas de +1% sur la TVQ à chaque année pour fourrer le monde encore plus...
mais ça, je l'écris une couple de fois
le GBS devrait TOUJOURS s'appliquer..peu importe le niveau
même si la populace désire une connerie!!..genre registre..on devrait avoir des élus qui pensent et agisttent HONNÊTEMENT et non pour se faire élire dans 4 ans...et ramasser des votes peu importe comment!!
à 2-3 milliards de $$, on devrait au moins se poser la question, "a-t-on pour notre argent avec cette dépense?"
comme je l'ai écrit (dans un ancien thread), alors les pro-gun-contro et/ou pro-registre, juste 10 situations "purement hypothétique" que le registre (passé) au fédéral était utile pour sauver des vies??ok, j'attends toujours.....
et pourquoi popo l'a sorti dans son discour inaugu.?
comme les 4 morons de parti ont voté pour(!) à 3-4 reprises alors, quand ça chauffera, facile de faire divertion avec cette connerie..
genre, popo devait scrapper la tx.santé...et elle s'est plantée....
donc, quand un autre dossier sera chaud, elle fera les journaux avec un autre dossier "safe", comme le registre des guns pour changer les idées du monde...
finalement, je crois qu'il faudra que le qc. l'implante (tant à être con!! aussi bien y aller à fond!), et dans 10 ans (100?), après une analyse (ouf, ça c'est dure!!) des grosses mais grosses améliorations vers le reste du canada (ontario etc...)
on pourra plus facillement comparer...et aller voir notre grandioses pro-un-control et/ou pro-registre pour demander de belles explications de l'échec...et pourquioi, qu'ils paient la facture...ah oui, dutil disait juste 30 millions de $$ pour le bo pays du quebec...franchement
c'est comme en dernier, les suicides et les armes...gros communiqué...juste pour se rendre compte, que les chiffres sont pire qu québec, qu'au canada...et aussi aux USA...le pays des comboys et des armes sur chaque coins de rue...
voir un ancien thread que j'ai fait
ils mentent au monde...et nos grnadioses journaleux ne fnt pas leur jobs...difficile de planter certaines organisations ....
bon, c'est assez pour aujourd'hui
add.2012-11-08-14-41
viewtopic.php?f=60&t=39714&hilit=suicidegarfield a écrit :
http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/sante/pdf2010/zoom_sante_jan10_no20.pdfCiter :
Taux ajusté8 de mortalité par suicide pour certaines années récentes, Québec et pays de l’OCDE sélectionnés
Taux pour 100 000 personnes
....
États-Unis (2004) 10,2
Canada (2004) 10,2
...
QUÉBEC (2004) 13,8
curieux le québec plus haut que le canada...MAIS SURTOUT plus haut que usa avec TOUTES les armes en circulation
les usa est un pays de cowboys non?
très biz.
add.2012-11-08-15-32
garfield a écrit :
Citer :
Citer :
Il y a des batailles qu'il ne vaut pas la peine d'engager. La croisade du gouvernement du Québec en vue de récupérer les données québécoises du (bientôt défunt) programme d'enregistrement des armes d'épaule est peut-être de celles-là.
C'est jeter l'argent des contribuables par les fenêtres que de se lancer dans une contestation judiciaire qui, au pire, n'aboutira à rien puisque le gouvernement Harper a de toute façon l'intention de détruire les données, et qui, au mieux, ne servirait qu'à récupérer des données fautives et incomplètes pour ensuite retomber dans les mêmes écueils qui ont miné l'entreprise fédérale.
Si le Québec héritait des données du registre fédéral, que se passerait-il?
Comme me l'écrit un lecteur bien au fait du sujet mais lié par un devoir de réserve, «il ne suffirait pas de mettre les données dans un ordinateur. Il faudrait créer de toutes pièces une bureaucratie pour gérer et maintenir ce registre à jour. Pas question de récupérer les fonctionnaires fédéraux, qui sont basés à Miramichi (Nouveau-Brunswick). Il faudrait des bureaux, une structure administrative, des fonctionnaires, des ordinateurs, des logiciels, des formulaires, une loi pour encadrer tout ça, un système de collecte d'information et d'enregistrement... bref, tout ce qui a fait que le programme a coûté deux milliards au Canada.».
À quoi l'on pourrait ajouter qu'il est pour le moins illusoire pour une province de se donner un registre, alors qu'il n'y a pas de frontière entre les provinces!
Les armes, tout comme les personnes, circulent librement à travers le Canada, et rien n'empêchera que des armes «non québécoises», c'est-à-dire non inscrites dans cet hypothétique registre, entrent au Québec.
Mon informateur soupçonne le ministre de la Sécurité publique Robert Dutil d'enfourcher ce cheval de bataille pour des motifs purement électoraux (cette affaire est activée par un lobby qui joue sur l'émotion légitime engendrée par la tuerie de Poly)... tout en souhaitant en son for intérieur ne pas avoir à hériter de ces données.
Le gouvernement fédéral fait-il preuve de mauvaise volonté en voulant détruire les données dont une province voudrait se servir? Pas nécessairement.
On le sait, le gouvernement Harper abolit ce programme pour des raisons idéologiques et électorales qui sont parfaitement contestables, mais il a au moins une raison valable: la constitution du registre, tâche fort compliquée au départ, a fait l'objet de multiples cafouillages - d'où le fait que les coûts, évalués initialement à deux millions, ont été multipliés par mille... tout cela pour un registre dont les données manquent de fiabilité.
On voit mal pourquoi Québec s'entêterait à récupérer un matériel truffé d'erreurs et d'omissions.
Les corps policiers auraient voulu conserver le registre, qui leur sert à déterminer, par exemple, s'il y a des armes à l'adresse où un crime a été commis ou se prépare. Mais si beaucoup de données sont erronées, et si toutes les armes ne sont pas dûment enregistrées, cela ne risque-t-il pas d'induire la police en erreur?
Par ailleurs, les opposants au registre soutiennent que le Canada a déjà une loi très contraignante sur les armes à feu et que pratiquement, ce registre ne sert qu'à étiqueter d'honnêtes citoyens comme des meurtriers en puissance.
Quoi qu'il en soit, la destruction d'un registre qui malgré ses failles a tout de même le mérite d'exister, et dont on peut présumer (sans qu'on le sache précisément) qu'il a peut-être sauvé des vies est certes regrettable. Il faut pourtant s'y résigner: ce gouvernement est majoritaire et il n'a jamais caché ses intentions.
La constitution d'un registre de portée exclusivement provinciale serait probablement un prix de consolation illusoire en l'absence de contrôles frontaliers.