garfield a écrit :
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/chasse-et-peche/201009/22/01-4320705-cerf-27-livres-de-regles-a-lavenir-.php
Citer :
André-A. Bellemare, collaboration spéciale
Le Soleil
À part les cas de quelques zones, les autorités veulent en principe réduire les stocks de cerfs, surtout dans les zones du sud-ouest (Bois-Francs, Amiante, Estrie, Montérégie...) pour que l'existence des hardes de chevreuils soit «socialement acceptable», disent-elles. Parce que, dans ces régions, où les chasseurs souhaitent bien sûr qu'il y ait toujours plus de cerfs, des citoyens aimeraient bien les voir disparaître...
Mais pourquoi serait-il socialement acceptable d'avoir six cerfs au kilomètre carré dans une zone, alors qu'il faudrait qu'il y en ait moins de quatre au kilomètre carré dans la zone voisine ? Pourquoi, en Estrie, voulait-on faire passer le nombre de cerfs de 12 à 10 au kilomètre carré, il y a 10 ans, alors qu'on parle maintenant de réduire ce nombre à moins de quatre au kilomètre carré ?...
Je crois qu’il répond à sa propre question. Dans le sud du Québec aller à 4 ou 5 cerf du km n’a rien avoir avec la capacité de support de l’habitat mais bien la capacité de support «sociale» et bien sur oubliez pas la capacité de support «électorale» (politique)!!!
Au Vermont les zones limitrophes au sud du Québec ont un objectif de population de 10 a 21 cerf /mille 2 (4 à 8 cerf/km 2). Au Québec c’est;
5 cerf/km2 pour les zones 8Est,5Ouest,et 5Est
4 cerf/km2 pour la zone 6Sud.
Pour fin de comparassions ;
Région A & B (Vermont) 6-8 cerf/km2 frontière avec zone 8 Est et 5 Ouest
Région C (Vermont) 5-7 cerf/km2 frontière avec zone 5 Est (Québec)
Région D (Vermont) 4-6 cerf/km2 frontière avec zone 6 Sud (Québec)
Ceci est basé sur l'habitat du cerf au km2 (boisé) alors la capacité de support de l’habitat devrait être comparable car ont ne tiens pas compte des superficie en culture dans le calcul du km2 d'habitat. Pour toute fin pratique si ont veut être conservateur les hivers devrait être semblable aussi, même si nous avons un micro climat un peu plus favorable que le nord du Vermont (plus montagneux).
Au minimum l’objectif du 8Est et 5Ouest est plus bas de 1 cerf/km2 versus l’objectif du Vermont. Au maximum l'objectif est de 3 cerf/km2 (8Est et 5Ouest), 2 cerf/km2 (5Est) et 2 cerf/km2 (zone 6Sud) plus bas que les zones du Vermont.
En chiffres cela représente au minimum 1,286 cerf et au maximum 10,838 cerf plus bas pour le Sud du Québec. Si ont se fi sur les objectif de population de 21,100 pour le Sud du Québec cela représente en pourcentage entre 6% et 51% plus bas que les zones similaire du Vermont.
Pour nos beau cerf males dans les mêmes zones au Québec ont a un objectif de recolte de prés de 1 cerf male/km2 avec arme a feu, soit plus que 3 fois le taux du Vermont (0.29/km2).
Faites vos propres conclusions
Entre temps je prépare ma demande de subvention gouvernementale pour étudier la possibilité de modifier génétiquement le cerf femelle (comme ont fait avec les poules pour des plus grosse poitrines ou oeufs) pour quelles produisent 3 fois plus de males que de femelles. Sa réglerait le problème de tout le monde. Ont pourrait avoir plus de males avec une plus petite population. Population plus stable, meilleur ratio, bonne récolte de males, plus grande possibilité de survivre a un âge plus mature, plus d’intérêt pour la relève futur, etc.….