moin de chasseur de trophée surement, mais les viandeux seront toujours la a ce contenter de femelle et de jeune male...

tu as totalement raison et vu que les chasseurs de trophés sont loin d`etre la majorité,
ces réserves continuerons d`etre tres convoité.

J'ai beaucoup de difficilté a comprendre les chiffres avancés de taux de succès ici... Je m'explique 2 orignaux pour 8 chasseurs ca fait un taux de succès de 25 pourcent/ chasseur ou 50 pourcent/pour deux chasseurs si on calcul comme si on était partout ailleurs au Québec...si le taux descend a 80 pourcent pour quatre chasseurs on tombe à 20 pourcent/ chasseur ou 40 pourcent pour deux chasseurs...donc rien pour écrire à sa mère côté succès... Je dirait pas dans quelle zec je chasse on au Saguenay Lac St jean mais le taux de succès de cette année dépasse Matane..(taux/chasseur) et y reste 4 jours de chasse!!!

en réserve faunique il calcule le succes par bete,,,que se soit un groupe de 8 ou 4 le le groupe récolte une bete donc réussite 100%!

Le gros problème aussi.
C'est au prix que ça coûte, les chasseurs baissent leurs critères au fur et à mesure que le séjour avance.
Il y a aussi l'accessibilité. C'est le cas pour nous, n'ayant pas de territoire sur le libre, on se tourne vers les réserves. C'est pas qu'on a pas essayé de s'en trouvé un. Après des enguelades, des flats, et menaces et bien c'était les réserves où on arrêtait la chasse.
En passant je vous félicite, François, Marie-Sophie et votre groupe pour votre succès dans ses circonstances.

En tout cas, je peux vous confirmer que quand on a un beau secteur pour nous seul, c'est un feeling très agréable. Mais c'est pas donné. Jai fait du libre, du club, des Zecs où les voisins sont toujours en compétition, c'est pas pareil...

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HI ! Bob,

Comme on aime se rectifier mutuellement, j'ai corrigé le tout dans ton texte !

Bye F.

[quote="Marie Sophie Royer"]Ce fut effectivement pour moi tout un baptême. J'ai eu un excellent professeur qui m'a guidé au fil des mois afin d'assimiler le maximum d'informations sur cette chasse.
Je partais de loin, je n'avais même pas idée comment appliquer pour les tirages au sort de la SEPAQ pour les réserves. Je travaillais cependant un peu avec les cartes écoforestières et google pour mes territoires mais ce n'était rien comparativement à la méthode de François. Donc, des heures à étudier les cartes, le nouveau GPS et apprendre la méthode de chasse utilisée par ce groupe. J'ai assisté à une soirée de formation sur le sujet et regardé la plupart des vidéos que j'ai pu trouver sur Internet. J'ai également assisté à une soirée de l'équipe de Chasso-maniac qui m'a permis de voir la récolte à François de son buck du Nouveau-Brunswick de 60 pouces. Pas besoin de motivation supplémentaire après cela !
Quelques collègues de travail vont aussi à cette chasse, j'ai donc jasé avec eux sur leurs méthodes, les trucs à connaitre et tenter de voir avec eux pour apprendre à "caller". À ce niveau, j'ai fait rigoler à peu près tout le monde, je ne l'ai pas, mais vraiment pas. Même les orignaux devaient se tordre de rire dans le bois quand j'ai tenté le coup le lendemain de notre récolte.
Prospection printannière et retour à l'étude des cartes par la suite pour compléter les informations supplémentaires que notre prospection nous avait fournie.
Ensuite, l'attente de l'automne, pratique de tir afin de voir quelle arme serait utilisée, de bonnes marches pour se mettre en forme, quelques montagnes pour réveiller des muscles qui seront sollicités lors de notre chasse.
Finalement, ces quelques jours de chasse se déroulent rapidement. Nous étions un très beau groupe, une belle gang de gars qui m'ont accepté parmi eu, ce qui n'est pas évident. J'avais un excellent guide et mentor en François Rompré et nous avons réussi à concrétiser mon rêve de récolter un buck selon les critères que je m'étais fixée. J'ai maintenant hâte de préparer un bon p'tit repas pour ma famille avec la viande de cette noble bête afin de les remercier pour leur support inconditionnel.
Je souhaite à tous d'avoir la chance de chasser avec une équipe de gars aussi super que j'avais. Moi qui ai toujours chassé seule, j'ai été très chanceuse de me retrouver avec eux.[/quote]

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C'est plutôt nous qui avons été chanceux de te compter comme partenaire de chasse. Tu sais que tu fais la barbe à la très grande majorité de tous les compagnons de chasse que j'ai côtoyés durant les 40 dernières années. Ta rigueur, ton grand calme. Ton excellente maîtrise de tes émotions. Ton incomparable jugement (tous tes lecteurs sur Chevreuil.net ne pourront que s'accorder à ce niveau) et ton '' intelligence de chasse '' ne sont que quelques-unes des qualités que j'ai pu déceler chez toi, pour le peu que j'ai eu à te cotoyer depuis le printemps.

Bref, on s'en reparlera prochainement ! Notre excellente venaison en préparation arrive à grands pas !

Note: Merci M.-S. pour tes bons commentaires.

Bye F. Xx xx

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HI ! Jeff,

Outre la tarification quelque peu dispendieuse, il n'y a que des avantages à chasser en réserves:

a) Grands territoires exclusifs / séjour / groupe;
b) La très saine paix durant notre séjour;
c) Normalement, les logis sont confortables (sauf les camps pour les groupes doubles, comme nous l'avons vécu cette année à Matane...alors que 4 d'entre nous avons couché en tente...!);
d) Habituellement, les signes de présence d'orignaux sont nombreux (frottés, souilles, broutages, pistes et excréments);
e) Personnel de la Sépaq très courtois et attentionné;

Finalement, merci pour tes bons mots. Chasser avec Marie-Sophie et les autres partenaires de notre groupe fut très agréable, sans anicroches. Un voyage de rêves quoi !

Bye F.

Bonjour François !
Effectivement, la grandeur et la quiétude du territoire est quelque chose qui ne se compare pas avec le libre. Là où le bas blesse, c'est lorsque tu paies près de 4000$ et qu'il n'y a pratiquement aucune présence d'orignaux sur ton territoire. Ça nous est arrivé dans la réserve des Laurentides zone 110. Ce fut un échec qui nous a laissé un goût amer dans la bouche...
D'ailleurs, je t'invite à y jeter un oeil car je n'ai pu résoudre le mystère de cette zone. Taux de succès 17% pendant 4 ans de suite...
Même avec la carte écofrestière, je n'ai pas trouver ou était les orignaux !

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Jeff, je viens de visualiser la zone 110 sur le site de la Sépaq. De prime abord, c'est une très belle zone. Les sections en rose et orange à l'est de la route no. 5 ne sont pas les meilleurs secteurs. Ces toutefois là que se retrouvent les chemins, dans lesquels 80 % des chasseurs chassent.

En fait, selon moi, c'est du côté ouest de la route 5 qu'il y a le plus de potentiel, soit là où il n'y a pas de chemin. Ces secteurs ne sont habituellement pas explorés par les chasseurs, car trop loin des chemins principaux et/ou sentiers. Les cartes éco. m'en diraient plus. Chose certaine, si je devais y chasser un jour, c'est du côté ouest de la 5 que je consacrerais 100 % de mes efforts de chasse, dans les montagnes, là où on retrouve des plateaux, du côté nord, nord-ouest des montagnes, soit là où les orignaux m'ont démontré qu'ils préféraient se tenir, et ce pour les principales raisons suivantes:

a) vents dominants de l'ouest ou du nord-ouest (les odeurs leur parviennent plus aisément dans le nez aux fins de décodage et d'analyse);

b) il fait plus froid du côté nord que du côté sud des montagnes. Les orignaux aiment et sont conçus pour le froid;

c) les sons (notamment de femelles en rut et beuglant, des humains, etc) sont poussés par le vent, plus aisément discernables du côté des vents dominants;

d) les prédateurs se tiennent dans les vallées, où l'on retrouve des cours d'eau. Il y a pas mal moins de cours d'eau sur les tops de montagnes, donc moins de possibilités de prédation pour les proies que sont les orignaux;

e) moins de moustiques (etc) quand il fait plus froid, soit dans le haut des montagnes;

f) sur les cartes éco., tous les facteurs de pente E et F doivent être éliminés des secteurs où se tiennent les orignaux. Eux comme nous, n'aiment pas se tenir dans des caps !...

Bref, on pourrait en parler longtemps. Seule une étude approfondie des cartes éco. et topo. me permettrait de décortiquer davantage cette zone, fort intéressante en ce qui me concerne.

Bye F.