touki a écrit :
Et c'est pourquoi avoir plus de femelles que de mâles est un privilège afin de remonter la pente plus rapidement après ces foutus hivers. Les extrêmes de climat n'iront pas en diminuant.
Touki,
Je crois qu'il faut avant tout faire attention à la condition du cheptel et l'etat de de l'habitat hivernale. Dans les zones ou le cheptel et bas, ok, mais comme les zones du sud du Québec, le fait que le cheptel a été maintenue à un niveau élevé pendant pleusiers années, à crée une dégradation importante de l'habitat hivernale et des ravages. Dans le sud, quand l'hiver est facile, les cerf ne ravage pas longtemps ou pas du tout, alors la population semble en santé. Mais arrive un gros hiver, cette surpopulation mets une pression considérable sur les ravages, au point que ça prendrait des années avant de revenir à un point acceptable. Entre temps avec plusieurs hivers rigoureux successive, on vera une chute très marque de la population.
Regarder la zone 4 comme exemple. C'était la zone la plus fortement touché par les hivers 2008 et 2009. La raison c'est que l'on a pas tenue compte de la capacité de support des habitats hiverneux. Maintenant regarder la récolte de 2013. Une augmentation de 44% par rapport à 2012. Ce-ci n'est pas normale. Les 2 derniers hivers ont été facile. Alors avec deja beaucoup de femelle, oui le remontė ce fait rapidement. Mais à quel prix? Beaucoup de femelles = beaucoup de faons = beaucoup de mâles de 1.5 ans = très bonne récolte en 2013. Les habitats hivernaux n'ont pas augmenté et ne ce sont pas amélioré dans ce court délai, alors même avec un hiver mayen, nous allons voir un plus fort taux de mortalité, et comme barème, une forte réduction de récolte en 2014 si l'hiver est meme moyen. (la recolte de 2014 sera en tres grande partie composée des faons de 2013 qui vont réussir à passer l'hiver). La solution est de regarder à plus long terme et pas pour essayer de voir qu'a un maintien ou redressement de population rapide en protègent plus de femelles pour la seul raison de vouloir maintenire notre taux de récolte.