Ouff !
Je tiens tout d'abord à féliciter ceux qui font habilement dévier le sujet pour parler d'autres choses, parce que se sont des questions qui les déranges.
On n'est rendu loin du sujet premier, remettons-le sur la table :
Citer :
Bonjour !
Étant un résidant du québec ayant un permis d'arme à feu possession et acquisition, j'ai une question à poser.
Puis-je entreposer chez moi au Québec et me servir légalement d'armes à feu sans restriction qui sont la propriété de résidants d'autres provinces?
Suis-je dans l'obligation d'enregistrer ces armes qui ne m'appartienent pas?
À l'exeption de mon permis d'arme à feu sans restriction, est ce que je dois avoir d'autres permis?
(Comme un permis d'emprunt à un ontarien, par exemple.)
Puis-je céder (donner) des armes à feu sans restriction à des résidants d'autres provinces que le québec, les entreposer chez moi et m'en servir si les nouveaux propriétaires me le permettent?
Bonne journée !
******** ***********
(résidant du Québec)
***-***-****
Il est question ici d'un moyen de pression qui peut rendre un registre québécois inéficace, il faudrait juste que les réponses soient en fonction. Les réponses à chacune des questions existent, faut juste les donner.
Où il faut ajouter un deuxième doigt sur un autre bobo est que le gourvernement soit dans l'obligation d'imposer des règles et des conditions tellements strictes aux non résidants, que ça tue les revenus que les chasseurs non résidants ont normalement l'habitude d'apporter au Québec.
Si les non résidants non pas le droit de ceci, de celà, qu'il soit dans l'obligation d'enregistrer leurs armes d'épaule qui sont en sol québécois, d'avoir un permis spécial s'ils veulent que des québécois puissent manipuler leurs sans restriction, de déclarer la duré de leur séjour au Québec, rendu-là ce ne sera pas dans les pourvoiries que nous allons rencontrer des investisseurs, mais plutôt des chômeurs et des proprios qui virent en faillite.
La seule façon d'avoir un registre québécois légalement pas contournable se fait en tuant l'industrie, que les chasseurs non résidants nous apportent.
Je travaille pour qu'il soit légalement possible de respecter toutes les lois en utilisant d'autres lois pour contourner le registre québécois et ne pas commettre rien d'illégal. Dans le cas contraire que le gouvernement sache qu'il devra tuer toute une industrie. Comment Dutil avait-il dit? 35 à 50 millions? Pourquoi pas ajouter 75 millions de coupures de revenus de non résidants qui ne viennent plus? 300 millions en faillites d'industries relatives à la chasse à gérer par les syndics, 150 millions à payer avec notre argent en chômage aux nouveaux chômeur, 80 millions en impôts par perçus parce que les travailleurs sont sur le chômage et certains proprios ont cessez leurs activités, 200 millions de pertes en retombés économiques indirectes et quelques suicides directement reliés non évités par le registre.
Pour ajouter à la non crédibilité des politiciens, en plus de se battre pour avoir un registre, ça enlève 400 millions dans le système de santé. C'est probablement pour commancer à ''backer'' les futurs premiers coût du registre:http://www.journaldequebec.com/2012/11/ ... --de-moinsPour jouer à jeu ouvert, il y a plusieurs façons de s'exprimer et dire ce que l'on pense. Des fois je lis des commentaires qui disent quelque chose du genre que ça veut finir par dire, je respecte ton opinion. Voilà ce que j'ai à dire, envers moi ça ne donne rien, je n'ai aucune admiration pour ceux qui sont pour le registre, je n'ai pas l'intention de gagner leur respect et je ne recherche pas à les avoir comme amis. J'espère avoir été assez diplomate avec les mots utilisés pour m'afficher. Ma position est claire comme de l'eau de roche, je vis très bien avec et j'en suis fière. Il n'est pas question par contre d'utiliser des propos excessifs ou déplacés pour participer à des chicanes publiques, j'aime mieux me serrez les dents et m'abstenir.