nato.308 a écrit :
pie a écrit :
la verification du registre de sheila fraser,tu l`as sortit des
boulles a mites ,c`etait en 2002 ou 2003,tu pense pas
qu`ils ont reparer les erreurs depuis ce temps.alors c`est
plutot toi qui devrais faire des recherches pour savoir si
il existe encore des erreurs dans ce registre.si il y aurait
tant d`erreurs que ca,les policiers s`en foutraient du registre.
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Les policiers s'en foutent du registre justement... pis c'est pas moi qui le dis, c'est les policiers eux meme ..
réparer les erreurs? pour réparer "les erreurs" ça couterais plus cher que le registre lui meme car il faudrais le refaire au complet avec ce que ça couterais aujourdh'hui en 2011,
tu le fais expres je pense,,,
pas tous les policiers,voici un article recent
Publié le 13 Décembre 2011
Publié le 13 Décembre 2011
Josianne Desjardins
Le registre des armes à feu est grandement utile au travail des policiers de Montréal, qui appuient la démarche du ministère de la Sécurité publique de conserver les données québécoises prévues d’être détruites par le projet de loi C-19 du gouvernement Harper.
Sujets : Service de police , Ville de Montréal , SPVM
C’est ce que fait valoir le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) en indiquant que ce registre est consulté plus de 350 fois par jour afin « d’évaluer le niveau de risque lorsque les policiers se présentent sur un appel ou sur une scène », peut-on lire dans un communiqué. Il est aussi mis à profit pour résoudre certaines enquêtes.
En outre, le registre des armes à feu fait partie des stratégies pour lutter efficacement contre les crimes violents et « leur permet d’intervenir avec une meilleurs connaissance de leur environnement », a indiqué le chef du SPVM, Marc Parent.
Celui-ci rappelle qu’il « est important de donner tous les outils nécessaires aux policiers afin d’éviter des pertes de vie humaines », comme dans le cas d’individus qui possèdent des armes longues et qui tentent de se suicider.
Registre aux frais des contribuables
Le Québec est propriétaire des informations sur les utilisateurs québécois colligées dans le registre, puisque la mise en place du dispositif a été possible grâce aux contribuables, soutient le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil.
Il a annoncé en conférence de presse qu’un recours judiciaire sera intenté pour empêcher la destruction des données du registre des armes à feu.
C’est pourquoi le ministre a d’ailleurs déclaré qu’il n’avait pas le choix d’agir de la sorte pour sauvegarder le registre
Cette mesure sera prise dans l’attente de la décision du gouvernement canadien d’abolir le registre selon le projet de loi C-19, qui est toujours à l’étude au parlement fédéral.
Le registre canadien des armes à feu, qui a été créé en 1995, servent à noter diverses informations relatives aux armes à feu en circulation. Le coût d'exploitation du programme est de 4 M$ par année.
Des survivants de la tuerie survenue à l'École polytechnique de Montréal avaient milité pour la création de ce registre