Avec les années l'automne, je prélève de moins en mois de bécasse volontairement. Le plaisir de cette chasse, est surtout de regarder mes chiens travailler. Mon appareille photo numérique est d'avantage utiliser l'automne que mon fusil. Évidemment de façons très occasionnelles, j'ai avec moi, une arme à feu et toujours mon APN. En dehors que de trouver bécasse et perdrix et les arrêtés, mes chiens ont besoin de rapporter de temps a autre du gibier à plume. Cela fait partie de leur travail.
Le fait que rarement j'ai pas d'arme à feu en période de chasse. Il n'y a aucun stress "je vais manquer ou pas l'oiseau". Rarement à la chasse, je rencontre un autre chasseur. Advenant le cas où cela pourrait se présenter, cette personne pourrait certainement me prendre pour un "jocrisse".Dû au fait j'ai un chien d'arrêt et pas de fusil, mais seulement APN.
Pour moi la chasse ne veut pas nécessairement dire: prélever obligatoirement de la plume. Prendre le temps d'observer mes chiens travailler, les regarder ruser avec le gibier, être témoin qu'ils ont capté une odeur, couler pour finalement prendre l'arrêt. Et ainsi avoir une complicité avec mes "sac à puces", je n'en demande pas plus. Cette philosophie de la chasse est essentielle pour moi l'automne.CAL20 a écrit :
Hé ! Mike ,
il y à plus de panaches d'orignaux sur les pignons de garages au Québec que de plumes du peintre sur le chapeau des chasseur...
CAL20
Euh ! Je veux juste dire que c'est plus facile de tirer un orignal qu'une bécasse...Toutefois le plaisir de chasser la p'tite dame des aulnaies est inversement proportionnel à la dimension et au poids du gibier.