CAL20 a écrit :
stranger a écrit :
Charley B a écrit :
Très belles photos, comme à l’accoutumée Rémi!
Faudrait des gars comme vous pour faire le comptage des dindons sauvages du Québec hehehehehehhe Là on aurait un chiffre crédible

Hey Charley, le biologiste en charge de ce comptage de perdrix grises est le même qui mène l'étude sur le dindon sauvage

...plus précisément le biologiste Pierre Blanchette s'est occupé de l'implantation du dindon...

Il est toujours responsable du suivi à ce qu'on a peu voir dans un récent reportage (pose d'éméteurs etc..)
http://www.mddefp.gouv.qc.ca/faune/habitats-fauniques/etudes-recherches/dindon.htmTiré du site de l'Université laval:
Suivre à la trace
Reste que cette espèce se trouve ici à la limite nord de sa répartition et que sa survie hivernale est précaire. Comme le dindon se nourrit de végétaux et d'invertébrés qu'il trouve au sol, un hiver particulièrement neigeux pourrait décimer sa population. Jean-Pierre Tremblay et son collègue
Pierre Blanchette du MRNF, de concert avec la Fédération québécoise des chasseurs et des pêcheurs, projettent de suivre à la trace —électronique— des dindons sauvages afin de mieux documenter l'écologie de cette espèce et les paramètres qui influencent son abondance.
«Le projet a commencé cet hiver avec le marquage de 20 dindons dans la région de Dunham. À terme, nous équiperons 90 dindons de colliers VHF et 10 dindons de colliers GPS, et nous poserons des bagues sur plus de 200 oiseaux afin d'étudier leur survie et leur utilisation de l’habitat», souligne le professeur. Ces connaissances serviront au développement d'un modèle de population et d'indicateurs fiables pour assurer l'exploitation durable du dindon sauvage au Québec. Les conclusions de cette étude sont attendues en 2014 et elles serviront à étoffer le plan de gestion de cette espèce.