Bonjour a tous, mon projet d'écriture sur la chasse du coyote progresse bien. Grace a l'appui et l'aide précieuse d'un membre connu de ce forum (PC00STRESS) mon livre a prit des proportions plus grande que prévu. Une maison d'édition a été contacté et nous devrions avoir leur réponse sous peu mais ils ont semblé très intéresser par le projet.
Par contre un problème persiste! J'ai besoin d'histoire vécu par des adeptes de cette chasse! Ne soyez pas gêner et envoyez moi 2 ou 3 de vos meilleurs chasses en MP avec photo à l'appui. Nous en choisirons un peu plus d'une dizaine pour le livre. Ne vous inquiétez pas pour les fautes le tout sera corrigé sans toutefois changé votre style d'écriture. Le but est de montrer au lecteur l'excitation procuré par cette chasse, surtout à nos débuts! J'ai besoin d'un peu de tout! Chasse sur appâts, call électronique, spot&stalk, call a bouche,etc...
Voici celle que j'ai raconté pour vous donnez un exemple.
En espérant obtenir votre aide pour pouvoir produire un livre de qualité pour les chasseurs de coyote du Québec.
Woo….Wooo...WOOOOOW!!!!
En 2011, j’ai vécu une de mes plus belle chasse au coyote. Ce fut par le fait même la première récolte de cet animal pour mon frère qui avait alors que 13 ans. Nous étions en milieu de saison ; j’avais déjà effectué quelques passes le matin, mais sans succès. De retour à la maison, mon frère était écrasé devant la télé. Je lui demande si ça lui tente d’aller faire un peu de « spot and stalk » au lieu de rester assis dans le salon. Il me répond dans l’affirmative en autant qu’on soit revenu pour 11h00 , car il a un rendez-vous chez le dentiste. Il est autour de 9h00 à ce moment-là. Parfait, on a le temps! On décolle en direction de grands champs à perte de vue et après seulement quelques minutes de recherches, mon frère aperçoit un coyote qui marche le long d’un fossé et on le perd de vue dans le dit fossé. Bon, on se dépêche, pas de temps à perdre ! On trouve l’agriculteur qui nous donne la permission avec plaisir. On commence notre marche dans la grosse poudreuse et on finit par atteindre un petit îlot de bois qui donne une bonne vue d’ensemble sur les champs environnants. À ce moment précis, nous n’avons aucune idée où est rendu notre coyote. Alors, sans perdre de temps, je sors l’appeau et commence des appels de détresse. À peine les premiers sons sortis du call, on le voit sortir quatre champs plus loin à plus de 800 verges! Il s’en vient à la grande course et ne semble pas vouloir ralentir la cadence! Il saute par-dessus les fossés et continue sa course en notre direction. Rendu à 400 vgs, je dis à mon frère de se tenir prêt et de tirer dès qu’il s’arrêtera ! 400…..300…..200….150….batince ! il continue de courir! 125…..100…..75! Je lui lâche un WOO! Rien à faire, il continue à courir dans notre direction! WOOO!! Il continue! Finalement, rendu à 10 verges de nous, je me lève dans le fossé et lui lâche un dernier WOOOO !!! en agitant les bras! Il stop net…..BOOM!!! Il s’écrase sur place. Je me vire de bord et la seule chose que je vois, c’est mon frère qui me regarde le sourire fendu jusqu’aux oreilles et qui me dit : JE VOYAIS JUSTE DU POIL DANS LE TELESCOPE! Je n’ai encore jamais revu un coyote aussi intéressé à entrer sur le call depuis ce jour! Francis Robidoux, Ormstown, Q.C.
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