Facteurs limitants
Les modifications de son habitat, notamment
les coupes forestières en périphérie du parc,
ont eu plusieurs conséquences néfastes : moins de
lichen arboricole essentiel à
l’alimentation hivernale des caribous, création d’un milieu favorable à l’ours et au coyote et
donc,
augmentation de la prédation des faons.
Le dérangement par l’homme demeure une
cause notable du déclin de la population gaspésienne de caribous. La présence des
randonneurs dans son habitat perturbe ses activités. Ainsi, il passe plus de temps à
surveiller, marcher et se déplacer qu’à s’alimenter et accumuler des réserves pour
survivre et se reproduire. Ce dérangement provoque aussi sa fuite vers les forêts
subalpines où il a plus de chances de rencontrer des prédateurs. Heureusement, depuis
quelques années,
les efforts entrepris par le parc pour mieux encadrer les visiteurs et la
participation remarquable des randonneurs ont contribué à limiter le dérangement.On parle beaucoup du coyote a deux pattes !!!

Ca dépend ou on mêt l'enfase !