cliquer ici pour lire la première partie...Nous sommes maintenant le samedi matin, fatiguer, il fait pas mal froid ce matin, je décide de rester coucher, prendre ça relaxe et boire un bon café.
...pendant ce temps...à suivre(je dois aller au boulot !)...
SUITE:Pendant ce temps, la loi de Murphy fit son oeuvre. L'improbable arriva. Patrick n'est pas dans le stand, le gros monsieur se pointe aux appâts à la limite de l'heure tirable...Il a sans aucun doute par la suite pris le temps de bien rafraichir son message ici et là dans les grattages... Ce n'est qu'après avoir visionné les photos que l'amertume du café instantané me remonta dans la gorge. En maudit contre ma lâcheté du matin, je remis de l'odeur à proximité. Les grattages devenaient assez malade merci ! des grattages de plus de 4 pieds de diamètre, j'ai pas vue cela à toutes les saisons, je vous l'assure ! Également, le nombre de grattages était rendu assez impressionnant. Des arbres frottés, des grattages omniprésents, c'était claire que ce n'était maintenant qu'une question de temps et de timming. Tout ce qui me reste à espérer, c'est que j'ai suffisamment de temps à mettre. Plus question de gaspiller une seule passe ou je peux y aller.... sauf sur vent contraire bien sure...
Malheureusement, des photos ne représentent en rien l'intensité hormonale des 2 bucks dans le coins. Ils se challenge l'un l'autre, lequel fera l'erreur en premier... mise à part moi
Voici une couple de photos ne rendant en rien justice à l'émotion que l'on vie quand cela se déroule comme cela, désolé pour la blancheur du sol des grattages, lors de la prise de photo, le sol était gelé:
Maintenant, plus que jamais, je me dois d'être le plus inodore possible. Accompagné du reste de mes glandes tarsiennes de l'an passé, je me dirige vers mon affût. Cette passe du samedi soir ne m'apporta qu'un mal de dos. Aucun chevreuil aperçu. Décidément, le combat hormonale dans le coin "effraie" la majorité des autres individus.
De retour au camp, toujours en maudit contre moi-même, je sirote une bière en me faisant chauffer les pieds sur le bord du poele à bois. Bien assis sur ma chaise berçante, mes pensées se perdre dans les lueurs des flammes sortant pas la petite prise d'air dans la porte de la truie...Demain matin, je dois retourner sur les lieux... rooooooooon.....zzzzzzzzzzzzz
à suivre
(le suspense monte héhéhé
)