Pierre t’a été plus rapide que moi.

Exactement mon loup n’était pas un male alpha et celui de Francis non plus. J’ai eu la chance de voire très brièvement le male alpha à la course et il était gros. C’est tout une feeling de voire des loups sauvages et d’en récolté un sur caméra en plus. Pierre et moi avons vite oublié que nous étions au chevreuil après mon loup. De l’excitation comme ça j’en prendrais à chaque saison.


merlin
Les chenilles sur le 4 roues c’est l’idéal lorsque le terrain est gelé et la neige est présente. C’est les journée avant le gel qui sont difficiles, mais en même temps mon 4 roues j’ai du aller le laver 2-3 fois pour faire fondre la neige. Sans oublier que lorsqu’une blanche se glisse entre les roues d’un chenille et fait débarqué la chenille, c’est vraiment plaisant surtout à quelques kilomètre du camp. Blague a part, selon moi c’est pas un produit universel, il y a des avantages et désavantages.


C’est certain qu’un voyage aussi long dans les conditions d’hiver demande énormément d’organisation. Non seulement pour le voyage mais pour avoir un confort pour un mois tout en ayant l’objectif de réalisé un DVD de chasse. Bravo encore Louis pour ton travail.

Merci des commentaires. Ce fut une saison exceptionnel et ce soir je vais souper un bon spaghetti avec du wapiti.

Mikael

super beau récit de chasse mon cher .merci de nous le partager.

pas facil l alberta cette année.j y suis aller cher mon frere .nous avons chasser la 340 plus au sud et de notre coté la température y étais chaude aussi pour la saison.du 14 aux 23 novembre.

de votre coté qu elle zone étiez vous ?

félicitation pour ton récit .

Merci Mikael, est-ce des chenilles 4 saisons?

Yves