micheld a écrit :
C'est pas juste qu'on protégerait une petite partie des 1.5 ans, c'est qu'on protégerait juste les moins bons sujets de la strate des 1.5 ans, et on récolterait ceux qui ont un meilleur potentiel de développement, faudrait vraiment pas faire çà sur une longue période, si non çà pourrait nuire à la génétique à long terme.
En protégeant juste les spyke, on protégerait environ 60% des mâles de 1.5 ans, en protégeant tous ceux qui n'ont pas au moins de 3 pointes sur un côté on protégerait près de 95% des mâles de 1.5 ans y compris ceux qui ont le meilleur potentiel.
Michel
Spike= génétique inferieur ??
On est tu sur une ferme d’élevage (ou au Texas avec les ranch de 10,000 acres) ou ils peuvent contrôler tous les autres facteurs ?
Le seul génétique qui est importante est la génétique qui prédispose un animal (à l’état sauvage) à la survie de l’espèce dans son milieu naturel à long terme. (DARWIN).
Quoi qu’il est vrai que le gène responsable du nombre de pointes et les grosseurs des bois soit héritable, plus que la moitié est du à l’environnement. En faite le poids corporel des 1.5 ans est une des caractéristiques qui est plus héritable que le nombre de pointes. Lequel des deux penser vous a plus d’importance sur leur survie dans la limite nord de son aire de distribution? Dans notre cas nous devrions nous protéger ceux qui ont le plus gros poids ?
Que fait-on du fait que la femelle a une influence de 50 %.
Il et aussi vrai qu’il y’a une relation entre le poids corporelle et le nombre de pointes.
Faons en santé nés tôt en saison + bonne nutrition maternelle + 1ier hiver clément + bonne nutrition printanière et estivale = plus de pointes redu à 1.5 ans.
Par contre, le poids étant très grandement influencé par la date de naissance, la condition de la mère (du à l’hiver), le niveau de nutrition dans la première année ainsi que la rigueur de son premier hiver, a plus d’influence que la génétique, surtout du à sa limite nord de son aire de répartition.
Aucune de ces caractéristique aura un impact significatif sur la « génétique » à long terme en regardants des mesures annuel et/ou aléatoires. Trop de facteurs environnementale viennent détruire les « règles » que l’ont s’imposent.
Laissons les jeux de la génétique à la nature .Ce que nous pouvons faire par-contre et aider la population en gérant le niveau de population en relation avec la capacité de support. Essayons aussi de rétablir un ratio sexe plus normale. C’est quelque chose que nous avons hérité comme problème depuis que nous avons influencé le niveau de prédation et les changements que nous avons apporté à leur environnement (agriculture, foresterie, urbanisation, pression de chasse). L’objectif et de simuler la nature, pas la changer. Ont peut par contre leur créer plus de superficie de ravage, ceci étant le facteur le plus limitatif au niveau de support pendant une période hivernale dur.
Une récolte de –25% du a une population de –20% âpres un hiver dure, c’est la nature dans notre territoire québécois. Une réduction de 40% du au faite que nous avons (artificiellement) supporté une population trop haute pendant les bonnes années (hivers cléments) et un péché du à égoïsme de l’homme de vouloir être plus puissant que la nature, quand elle en décide autrement.
Nous devons gérer pas seulement les males, mais la population globale (cheptel) en fonction du support (majoritairement hivernal) disponible. Ensuite nous devons gérer les chasseurs (pression, niveau de récolte et répartition d’âge et sexe de récolte). Le but et de simuler le plus possible la nature.
Pour revenir a la question de génétique, j’ai un problème avec le fait qu’un cerf de virginie qui a un gros panache a nécessairement un meilleur génétique. Les bois sont peut-être une des caractéristiques physiques d’une génétique. Un spécimen animal n’est jamais caractériser comme superior ou meilleur génétiquement du à un caractère particulier. C’est seulement l’homme qui en décide ainsi pour leur propre besoin, basé sur le caractéristique qu’il trouve les plus attrayant ou profitable. C’est ainsi pour les vaches, bovins, volaille, chiens, que les humains essayent d’influencer. Pour les animaux sauvage, ca devrait être toutes les caractéristique qui font en sorte que l’animal peut survivre et passer et propager les caractéristique qui l’ont fait survivre, d’une génération à l’autre pour le bien être et la survie à long terme de l’espèce.
Le gestionnaire (gouvernement, ou gestionnaire du territoire) doit commencer par la caractérisation et le niveau de la population existante vis à vis la densité ciblé (capacité de support) et la structure d’âge. En suite il doit essayer de balancer le rapport des sexes et la struture d’âge pour quel soit le plus naturel que possible. Ce n’est que âpres que ceci est fait qu’il pourra juger de la « qualité » des males sur le territoire.
Si on aurait voulu faire une sélection génétique, ont l’aurait fait en 2008 et 2009. Les survivant de ces deux hivers particulièrement dure (2007-2008 et 2008-2009) aurait probablement plus de bagage génétique prédisposé à la survie peut importe le nombre de pointe. Vu que la récolte des 1.5 ans est toujours la portion la plus exploité, un grand nombre de males génétiquement fort ont été enlevé.
Ceci dit, les chasseurs qui voient en 2011, des males de 1.5 ans dans les zones 4, 6S 7N, 7S, 27O peuvent être de bon spécimen avec un bon bagage génétique peut importe le nombre de pointe du au fait qu’ils ont passé un hiver au delà de la normale (printemps en retard). Cet à vous de décider d’en récolter ou pas.
Pour les autre zones du sud (5, 8, 6N) qui ont eu un hiver assez normale posez vous la question sur le nombre de spikes (2 pointes) ou 3 pointe que vous allez surement voir dans la classe de 1.5 ans? C’est tu parce que la population (du à un trop fort pourcentage de femelles) est très trop élevé et que l’habitat fait en sorte qu’il y’a trop de compétition ?
Encore une fois, trop difficile de lier le nombre de pointe avec facteur génétique tant est aussi longtemps que les autre facteurs ou questions environnementale soit étudié et répondu. La meilleure option, laisser passer, récolter une femelle (si on observe une forte proportion), et attendre à l’année suivante.